* ÔH NUIT ...

Ôh NUIT ...
Pv Jake

Ce n'était pas pour rien que la lune était banche ... Ce n'est pas pour rien qu'elle l'est encore. C'est pour que la nuit remplace le jour alors que l'obscurité nous laisse place au peur et aux craintes. Ce qui se passé exactement en ce moment même; Je n'était pas du tout rassuré. Et je sentais que ma 'deuxième partie' ne l'était pas non plus. Et pourtant, il n'était pas là, avec moi. Il était autre part, en train de galoper librement dans le vent, se laissant emporté par son galop fougueux et majestueux ... Je regardais à travers les grandes montagnes ... Où était t-il ? Sans sa présence juste à côté de moi je me sentais lourd et presque vide.J'avais un chapeau noir posé sur ma tête, me cachant ainsi de la faible lueur du soleil. Je n'ai jamais véritablement aimé le soleil. Non, jamais. J'ai toujours trouvé ça trop beau pour moi. Le soleil me brûlé littéralement chaque jours.Je n'aimai pas le soleil, je n'aimai pas le beau temps. Je préféré largement lorsque les nuages c'étaient emparés du ciel ... Je restais donc lent &&. peu envieux à l'idée n'allez dans les zones complètement sous le soleil. Cependant, le crépuscule était proche, et ça, j'en étais presque heureux ...

Le regard à présent pétillant, j'observai et détaillai mieux les lieux. Au loin, dans l'ombre, de grands rochers ... Je m'y précipitai, d'une allure assez rapide,mon corps musclé et travaillé prit la folle course. Sautant à travers le terrain rocailleux, je ne trébuchai aucune fois. Non. J'étais peut être un boulet et un dégénéré mentale, peureux et timide, mais je n'étais crétin non plus. Je savais montré ce que je savais faire sur la piste. Dans l'allure, j'avais presque l'impression d'être sur le dos de Legend. Je n'avais encore jamais démarré de grande descentes ou de grandes aventures avec lui, mais ça allait commencé. Un faible vent c'était élancé, et je sentis la liberté sonné enfin à ma porte. Prenant appuie sur un vieux et gros rocher, je m'éjectai et m'envoya dans les airs.

Ce fut la, le problème. J'étais suspendu en l'air, et il ne me fallut pas plus d'un quart de seconde pour sentir tout le poids de mon corps tombé à terre. Je retombai ferment sur mes pieds, sentant un cliquetis au niveau de mon genoux, je serrai les dents, et entama ma descente vers le bas. Je glissais, prenant le soin de ne pas salir ou tâché mon habit. Un vrai maniaque de la propreté vous allez me dire. Ouais, c'est vrai. Et alors ? C'est pas vous, un point c'est tout. J'arrivai alors à la fin de ma descente. C'était parfait, j'étais même pas tombé. J'étais fier de moi. Arrivé près des immense rocher, je m'attardai sur leurs dessins, et donc sur leurs significations. Essayant à tout prix de déchiffrer quelque chose. Il y en avait un extrêmement intriguant. Mon imagination me montré clairement un nuage, un nuage ayant une forme tout à fait autre. La forme d'un cheval, oui. C'était un cheval. Je souris, et je me sentis soudainement fatigué. Je relevai la tête. Je rêvai? Non ... La nuit était déjà tombée ...

Lumière, elle, celle qui nous conduit dans le bon chemin. Celle qui nous éclaire. L’obscurité, celle qui nous laisse perplexe. Celle qui nous laisse seul. Mais la nuit nous endort alors que le soleil l’en empêche. Le soleil nous réveille et le noir l’empêche. Blanc contre noir. Les opposés, ceux qu’on ne peut jamais allier ? Ah oui. Et pourquoi la lune s’allie au ciel noir ? Nous pourrions bien faire un grand débat sur cela mais moi j’avais déjà mon avis. Je savais que la lune et le soleil se défiaient. Mais moi, je n’avais parfois qu’une seule envie, les allier pour qu’ils soient ensembles et pas opposés. Car moi j’étais la suisse. J’étais celui qui voulait tout faire mais qui foirait tout. Mais j’étais neutre. J’étais celui qui ferait en sorte pour que tout en ce monde soit en paix. Qu’est-ce que j’étais égoïste ! Tout allait me retomber dessus ensuite. Mais j’aimais bien trop la lune et le soleil. J’aimais tellement ces astres. C’était un peu le guidon à mon vélo. J’avais besoin de la lune pour penser, me reposer. J’avais besoin du soleil pour vivre. Oui j’étais tellement égoïste.
En ce moment, le soleil m’accompagnait en une marche. Oui car ce jour là, j’étais seul. J’avais laissé pour la première fois mon double seul. Twinnie devait à présent brouter une herbe bien grasse ou bien rencontrer des gens. Je n’avais pas de soucis à me faire. Non. Ce n’était pas mon genre … * Et si il lui arrivait problème ! Et si j’avais un problème !!! * Bon ok je flippais bien. Mais bon, ce n’était pas interdit, hein ? Une amitié aussi … aussi proche était multipliée des millions de fois. Hein ? Mais dites oui ! Me dites pas que je suis fou. Car j’étais sur que je pouvais faire n’importe quoi pour elle. Pour ma double, elle qui me comprenait. Elle qui me sortait de ma bulle pour qu’enfin je vive. Elle avec qui je me sentais si bien. Je me demandais comme elle se sentait, elle, a cet instant. Enfin …
Après toute ces réflexions, je me rendais compte que j’avais beaucoup marché, inconsciemment. J’étais rendu dans un endroit … bizarre. * Mais c’est une habitude ici ou quoi ?! * Cela faisait à peine quelques jours que j’étais ici et j’avais déjà été dans un endroit blanc où on semblait s’effacer et maintenant … J’examinais. C’était une grande plaine d’herbe. Mais je distinguais au loin de gros blocs … de pierre surement. Ils ressemblaient à des dolmens. Puisque j’étais plantée au beau milieu d’une prairie, je me décidais à aller voir. Cela m’intriguait. Je pris une course effrénée, manquant de tomber dans les descentes. Je m’épuisais, certes, dans les montées, mais je me sentais libre. Belle sensation. Mon tee-shirt se gonflait, prenant le plus d’air possible. J’inspirais le plus possible, prenant le plus de pureté. J’arrivais enfin à quelque mètre. Je passais à une marche lente. Je commençais à distinguer de plus en plus les blocs de pierres à présents. Après quelques minutes, je fus auprès de celles-ci. J’explorais, laissant mes doigts vagabonder sur leur surface rocailleuse. Mais cela fut bizarre, je sentais … des creux. Je me remettais face au solide bloc. Des … écritures ? Oui. Cela y ressemblait. Je laissais ma main caresser la pierre et examiner les traces. Je fis le tour du dolmen, concentré sur les traces. Soudain … BOUM. Je me retournais, et voyais un homme. Je n’étais pas fier de ma maladresse …
« Désolé, je ne vous avez pas vu. »
Dis-je en n’ayant aucune idée du caractère de cet homme qui semblait beaucoup … beaucoup plus âgé.

Combien je donnerais pour avoir à nouveau mes quinze ans ... A nouveau pouvoir être libre et de faire toutes genres de conneries, que sa retombe sur les parents. Oui. Être à nouveau libre, avoir à nouveau cette avide liberté. Ce monde, être tout simplement incomparable à l'autre. Il n'y avait aussi, aucun bureau, aucune maison, il n'y avait pas d'électronique, tout était sale, et surtout tout était purement imaginaire. Le genre de situation que je ne peux pas supporter ... Si je devais examiner toutes les possibilités que ce monde était vrai, j' n'en trouverais certainement aucune. Ou peut être n'était-ce qu'un rêve ? Ou un coma ? Tant d'idée me venait à la tête. Mais étrangement, je ressentais le besoin de resté ici, malgré toutes les contraintes ... Je fixai la pierre du regard, et passa ma paume sèche et pâle sur la pierre froide. Un léger sourire s'étira sur mes lèvres, et je pris le pas vers le côté gauche. POUF ! PAF ! Mon corps frappe violemment quelque chose, sous le force des deux énergies, les deux corps s'écartèrent vers l'arrière, plaquant ainsi le mien vers une des pierres. Erf ... Je flippais là, a quoi je devais m'attendre ? Je restais la tête baissé. Un monstre ? Peut être... Un ogre, un dragon, une girafe à trois têtes ? Tout était possible. Et ... ça parle en plus ? Là, je relevai lentement la tête, et mon regard noir fixa le ... le garçon ... Wouaw ! J'ai flippé devant un gamin ?! J'en croyais pas mes yeux. Le visage doux et les traits relâchés, il avait l'air navré. Navré de quoi ? Ah oui, de m'être rentré dedans ... Je souris, navré. étrangement, le fait d'avoir un gamin devant moi me rendais moins mal à l'aise. Car je dirais que celui - c n'en avait pas plus de quinze. Oui, as plus de quinze ans ... Peut être seize, mais il n'était certainement pas majeur ... j'adorai les enfants, c'était un truc de dingue. Bon ok, il n'était pas vraiment un enfant, mais son visage enfantin me donné quelque chose de chaleureux. Moi, j'avais l'allure élégante, forte, celle d'un gentleman, homme d'affaire quoi. ( Normal, je revenais d'une réunion ) et pourtant j'avais toujours des traits extrêmement jeunes. Que dire, que j'avais l'air d'un gamin moi aussi, j'étais tout de même plus âgé que lui ( 8) )

<< C'est rien ... >>

Et ouais,j'avais répondus de suite. Je n'avais pas bégayai, je faisais des efforts ! wouaw ! Mais ... N'oublions pas le réel problème, j'avais devant moi un être tout à fait normal, un jeune adolescent vide de liberté, et moi dans le jeu j'étais le vieux papy qui est paumé ? Erf ... Sa promet ... Je lui éclatai un sourire dérivent, amicale et sympathique. Ouais, ce gamin devait savoir où j'étais la nuit était donc tombée, lentement. Je regardais devant moi, et les pierres.

<< C'est incroyable ... - je me retournai vers ceux - ci - imagine combien y a t-il de possibilité que ces pierres soient truquées ? - je passa ma main dessus - ou alors s'agit t-il de mythes, de vielles légendes ... Il est dur de croire à de tel choses quand on à de l'expérience dans la vie. Un reflet de lumière, qui tombe ainsi sur cette pierre trop parfaite, ou alors pendant la journées elles se remplissent de cette lumière, et reflets leurs personnalité pendant la nuit. - je me retourna vers lui - Je suis Michael ... et c'est " tu ". >>

La lune était à présent ressortie des nuages, et j'apercevrais mon ombre juste à côté de la pierre, juste à côté de celle la pierre. Un sourire étira mes lèvres, et je me redirigea du regard vers le jeune garçon, attendant impatiemment une réponse ...

Après avoir repris mes esprits, j’étais déjà plus souriant. Mais je n’en étais pas pour autant moins navrer. Le remord me rongeait, j’étais un grand maladroit ! Mais bon, je pense que ce grand homme s’en serait remis ! Ou alors il l’était déjà ! Je laissais un petit rire s’échapper, étouffé par une respiration qui se calmait peu à peu. J’espérais que ca détendrais l’atmosphère. Regardant le ciel, je me rendais compte que sir soleil était encore avec moi. C’était une chance. Je n’aimais pas le froid, la pluie. Je préférais lézarder au soleil, un peu comme le trois quart du monde. Le soleil, une source de joie. Oui, c’était peut-être parce qu’il me ressemblait que je l’aimais bien. Car, à part les moments où j’étais un grincheux, j’étais un garçon joyeux. Enfin, je pense que je ne pouvais faire un auto portrait de moi-même. Et puis en cet instant, je sortais de mes rêveries, remarquant que l’homme parlait. Je l’écoutais attentivement. Ma respiration s’était à présent enfin calmée. J’étais serein. Et son récit était tellement vrai. Il me donnait l’impression qu’il connaissait cet endroit comme personne, que cette terre était un paradis. Ses paroles me faisaient comme rêver. Jusqu’au moment où il me prononçait son nom. Michael. Je sortais de mes rêveries. Michael, c’était un sympathique nom et je trouvais même que ca lui allait bien. J‘étais gentil, hein ! (xD) Mais seulement quelque chose n’allait pas. Ca chauffait. J’étais tellement concentré que j’en avais oubliée ma main. Ma main était posée sur la roche qui, chauffée par le soleil, me brulait la main a son tour. Je regardais ma main, de grands yeux sur le visage. J’avais mal mais je laissais ma main. Je ne réagissais pas. Enfin après quelques secondes, je réagissais enfin, l’enlevant de la roche. J’examinais ma main. Elle ne semblait pas trop brulée, quoi que je fusse assez nul pour diagnostiquer les brulures. Faisant une grimace, je décidais d’essayer de l’oublier et d’enfin répondre à Michael.
« Moi c’est Jake. Enchanté »
Je lui offrais ma main, mais étant droitier, je laissais tomber ma main. Je soupirais pour enfin étouffer un rire. Je regardais soudainement ma main, puis le rocher. J’allais vers un autre rocher, posait ma main gauche sur celle-ci. Il était glacé. Je regardais Michael, surpris. J’y posais immédiatement ma main droite. Je fus immédiatement soulagé. Quand j’eus moins mal, j’enlevais ma main et revins vers Michael. Je luis dis en rigolant, mais plus ne rigolant pour me déstresser qu’autre chose.
« Je ne pense pas que ce soit truqué. A moins que je soit un bon magicien ou encore un bon biologisqte. »
Je montrais ma main en souriant. Palpant ses moindres recoins, j’essayais de trouver qu’est-ce qu’y s’étais passé. Mais je n’avais, de toute façon, jamais été très fort en biologie. Avais-je été fort en quelque chose ? Je ne m’en souvenais pas. J’étais surement fort pur m’éloigner, être seule. Une solitude que j’avais aimé, qui m’avais souvent accompagnée. Je n’avais pas vécu longtemps entourée. Une ou deux années ? On peut dire que j’avais été précoce à une enfance assez noire. Mais je n’avais pas envie d’y penser, pas maintenant que j’étais avec un homme qui me paraissait d’ailleurs fort sympathique.
« Je pense que dans … dans ce nouveau monde. Enfin tu peux l’interpréter comme tu veux. Mais ici et partout, tout est étrange. Et je crois que ces rochers sont véritables. Mais je pense aussi qu’ils ont un secrets a cacher. C’est étrange. Celui de gauche est brulant. Celui de droite est glacé. »

[ THRILLER !!! THRILLER NIIGHT !!! ><"]

Un large sourire fendit mes lèvres. Ce garçon était vraiment adorable ! Adorable ! Je fixais la pierre. J'étais surement extrêmement naïf. Mais je pensais, oui, je pesais que ces pierres étaient réellement surnaturels. Je les fixais, quelque seconde. Je n'était pas dupe, mais le garçon grimaça. Et lorsqu'il porta sa paume vers lui pour examiner les dégâts, je porté instinctivement la mienne vers moi. La plaie c'était refermée, grâce à Angy. Resterais t-il une cicatrice? Oui, surement. La chaire avait littéralement fondue. Mais est-ce-que tout cela empêcherais Angy de me porté autant d'affection ? Je ne savais pas... Je grimaçais, identifiant ma main. L'état était pitoyable, et je me remémorais avec quel difficultés je m'en étais sortit. Tout ça grâce à mon ange, tout ça grâce à elle. Que la vie pouvait être pénible et cruelle, mais à quel point... C'était inimaginable...
Je lâchais ma main, cessant de l'identifier. Mais je ne pus m'empêcher d'étendre encore plus mes traits, oubliant mes soucis ( à moitié ) lorsque je vus la tête de ce jeune garçon. Je faillit éclater de rire ! Il était pencher sur ça main, l'air d'un débutant. Je laissé échapper un fin sifflement en guise de rire, sans vouloir être offensant. Je le gratifierais d'un sourire magnifique aux coins des lèvres, et j'eus soudain dix ans de moins. Ce qui me ramener moi même à mes dix ans. Cette pensé me fis rire intérieurement, et je m'approchais de la pierre brûlante. Posant lentement ma main droite et donc valide dessus, je constatais avec quelle chaleur elle clarifiée ce monde. Passant alors vers la pierre froide, j'y déposais lentement ma main. C'était en effet incroyable. Peu enclins à vouloir en terminer ici, je continuais mes déductions.

<< Tout ça peu revenir d'un courant d'eau. >>

Lâchant un regard drôle vers le garçon je me rapprochais de lui, ma veste en cuir virevolta autour de moi. Je m'agenouillai pour détaillé les graffiti, ou plutôt les dessins d'en bas. De toutes sortes, des traits. Que pouvais-je bien en déduire? J'en avais marre de réfléchir. Je revins alors vers le dénommé Jake, il s'était poliment présenté.

<< Environs trois jours. Dis - moi... Combien d'années as - tu, à présent ? >>

Simple question d'éviter de me répéter, autant s'éclater avec un langage plus... courant...?

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